Etre français
L’on évoque beaucoup aujourd’hui la signification des deux mots : être français. Le discours dérive toujours sur les problèmes liés à l’immigration. Dans ma vie professionnelle, j’ai eu comme directeur le fils d’un immigré polonais, et comme collègues de fréquentation quotidienne le fils d’un immigré espagnol et un hongrois réfugié en France. Il n’y eut jamais la moindre difficulté dans notre coopération, pas plus que mes amis ne connurent de problème de leur insertion dans une ville française. Ils étaient tous les trois d’ascendance et de culture judéo-chrétienne et gréco-latine. Dans un passé plus lointain, des invasions venus du Nord, de l’Est, de l’Ouest et du Sud, ont laissé leur traces chromosomiques dans l’ADN français, et le vent de l’histoire a dissipé de longue date ces parfums venus de l’étranger. Un seul cas présente quelques difficultés. C’est celui dans lequel la discipline religieuse transcende les coutumes, voire les lois, locales. L’exemple est historique, de la fidélité à la Loi la Loi Alors, quelle solution ? Islamiser la France